110 salariés de la marque ont déclenché une grève suite au suicide d’un collègue sur son lieu de travail à Rousset, près d’Aix en Provence (Bouches du Rhône).
[...]Journée test pour le ministre du Redressement Productif qui se rend sur deux sites industriels menacés de fermeture dans le département des Bouches-du-Rhône : l’entreprise Fralib d’abord à Géménos, seul centre de production en France des thés Lipton et des tisanes Elephant, puis la raffinerie LyondellBasell à Berre-l’Etang.
[...]Selon la CCI de Marseille, les chiffres concernant l’industrie au second trimestre 2010 sont encourageants pour la suite. Des données économiques qui tendent à penser que les difficultés des mois précédents commenceraient à s’estomper.
[...]La Chambre des métiers des Bouches-du-Rhône lance une opération « job dating » pour l’emploi, le vendredi 11 juin 2010, de 9h00 à 12h00. Ce rendez-vous permettra à 45 candidats de rencontrer des entreprises qui recrutent. Ils auront une quinzaine de minutes pour convaincre leurs interlocuteurs. Les secteurs représentés : bâtiment, métiers de bouche, services. Les personnes qui auront été retenues se verront proposer une période d’apprentissage dans l’entreprise recruteuse. De plus, ils seront accompagnés durant leur période d’apprentissage. Pour plus de renseignements : www.sap2010.citedesmetiers.fr
[...]Si, sur l’ensemble du territoire français, le nombre de demandeurs d’emploi a légèrement baissé au mois de décembre (-0,7%), la Région Provence Alpes Côte d’Azur n’a pas suivi la même courbe. Sur l’ensemble du territoire régional, les chômeurs inscrits en catégorie A, c’est-à-dire ceux qui n’exercent aucune activité, ont augmenté de +0,2% (+0,5 % pour les hommes, -0,3% pour les femmes), soit 360 de plus au total.Le pôle de l’Arbois et le site de Rousset, « nouveaux concurrents du réseau des hautes technologies niçois Sophia Antipolis » selon l’analyse du préfet du département Michel Sappin, permettent aux Bouches-du-Rhône (+0,1%) de mieux résister à la crise que les Alpes-Maritimes (+0,3%).
[...]Le confiseur allemand a annoncé la suppression de 100 postes dans ses deux usines françaises, à Uzès et Marseille. Le célèbre groupe de bonbons, orfèvre des cultissimes fraises Tagada et dragibus, va tailler dans les effectifs de sa filiale française, la plus importante d’Haribo en Europe. L’annonce, qui porte sur une centaine d’emplois, choque en interne car elle entre en contradiction avec les bons résultats économiques dégagés par l’entreprise en 2016 : la branche hexagonale de la marque allemande, forte d’un chiffre d’affaires en hausse de 50% en dix ans, ne s’est jamais aussi bien porté et semble être passé entre les gouttes de la crise : l’an dernier, c’est un chiffre d’affaires record de 250 millions d’euros qui est venu accréditer la bonne santé du marché de la confiserie, souvent présenté comme une arme anti-dépression. Autrement dit, quand tout va mal, le bonbon va mieux que bien. Nouvelle usine en Allemagne En fait, le plan de restructuration présenté par la direction allemande aux syndicats français s’inscrit, une nouvelle fois, dans une logique de concurrence internationale, alors qu’Haribo compte seize usines de fabrication réparties entre l’Europe, la Turquie et la Brésil. En France, les ventes atteignent 75 000 tonnes quand la production des deux usines d’Uzès (Gard) et de Marseille (Bouches-du-Rhône) plafonnent à 51 600 tonnes, faute d’investissements capables d’augmenter leurs capacités respectives. En affaiblissant Haribo France, la marque souhaite concentrer le gros de sa production en Allemagne où une nouvelle usine va ouvrir à Grafshaft (Rhénanie-Palatinat) avec un objectif de 75 000 tonnes. Elle compte aussi attaquer le marché américain en installant une nouvelle unité dans l’Etat du Wisconsin. En France, Haribo emploie 750 salariés sur ses deux sites, lesquels ont été appelés à voter pour se prononcer sur le plan de restructuration présenté par leur maison-mère comme un condition sine qua non à la poursuite de l’activité.
[...]Après l’attentat perpétré lors de la Fête nationale à Nice, la Ville de Marseille a décidé d’annuler le feu d’artifice prévu ce vendredi soir sur le Vieux Port.
[...]L’Union pour les Entreprises des Bouches-du-Rhône (UPE 13) demande à l’Etat d’intervenir pour évacuer les terminaux pétroliers bloqués par les grévistes en lutte contre la loi Travail.
[...]Au 1er janvier 2014, 406 753 entreprises sont implantées en Provence-Alpes-Côte d’Azur. Elles représentent 3 087 896 emplois sur une population de près de 5 millions d’habitants.
[...]Les premières constations réalisées sur le site pétrochimique de l’Etang-de-Berre frappé par un incendie le 14 juillet semblent accréditer la piste criminelle.
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